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 La solidatité féminine, il n'y a que ça de vrai ! |Rose && Aby

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Abigaïl Sky Hodgkins
+ Fonda un peu barrée +
Abigaïl Sky Hodgkins


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MessageSujet: La solidatité féminine, il n'y a que ça de vrai ! |Rose && Aby   La solidatité féminine, il n'y a que ça de vrai ! |Rose && Aby EmptyMar 22 Oct - 14:48



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❝ La solidatité féminine, il n'y a que ça de vrai ! ❞

« Rose & Abigaïl»



Vendredi matin. 9 h. Les cours ont commencé depuis quelques jours déjà et je tente de m'habituer tant bien que mal, à ce nouvel environnement et ce nouveau mode de vie : des cours presque tous les jours, double dose qui plus est, étant donné que je suis en double licence, des heures et des heures de dessins, des heures et des heures de répétitions et quelques minutes grappillées par ci, par là pour mon frère Zach...la fac, c'est bien plus compliqué que ce que je pensais. J'étais rentré à Liverpool en grande partie parce que Zachary me l'avait demandé et voilà que mes études me prenaient tout mon temps libre.
À la base, j'étais censée retrouver une vie normale, être encadrée par mon frère pour retrouver un semblant d'équilibre pour stabiliser mon état mental et je crois bien ne m'être jamais sentie aussi seule. Zach avait lui aussi reprit ses études et il disparaissait sans cesse, sans raison apparente et quant à moi, mes pieds commençaient à me faire sacrément souffrir avec mes heures intensives de danse. Et puis il était inutile de préciser à quel point Noam me manquait... J'aurais peut-être mieux fait de rester à Londres finalement.

Debout à l'entrée du jardin botanique, j'écoute d'une oreille distraite, mon prof de photo qui tente de nous préparer à notre séance du jour. Après les cours sur l'anatomie d'un appareil, comment choisir son appareil et comment cadrer un animal sur une photo (choses que j'ai d'ores et déjà appris à faire il y bien longtemps), nous nous apprêtons à prendre nos premières vraies photos, sous la supervision d'étudiants des années supérieures (comme si j'en avais besoin!). Conrad, mon tuteur du jour, me glissait quelques mots à l'oreille, couvrant les paroles de notre enseignant. C'était la seconde fois que j'avais à travailler avec lui et franchement, je crois bien n'avoir jamais croisé personne d'aussi persévérant que lui. Je lève donc les yeux au ciel en soupirant, les bras croisés sur la poitrine et l'appareil photo offert par Zach, en barrière entre Conrad et moi...il me semble que le message est plutôt clair : PAS INTÉRESSÉE ! Et pourtant, il continue encore et encore de tenter de s'attirer mes faveurs, malgré mes réticences. Je n'ai jamais été particulièrement douée pour éconduire les hommes...c'était Noam qui s'en occupait pour moi avant. Malgré mes soupires, mes sourires forcés et mes absences de réponse, ce cher Conrad n'a pas l'air de comprendre le message.

« Bon, vous connaissez votre mission : rapportez moi le meilleur cliché ! A vous de jouer ! »

Génial ! C'est sans doute la chose la plus merveilleuse qui soit sorti de la bouche de ce professeur. Je me mets donc en marche, suivant la masse des étudiants présents, masse qui se disperse rapidement dans le jardin, à la recherche de la photo parfaite (ça ferait un très bon jeu de télé réalité d'ailleurs). J'essaie d'échapper à l'attention de Conrad qui m'interpelle au loin. La simple idée de devoir passer l'après-midi à le supporter me mets dans tous mes états. Je sens monter l'angoisse et la contrariété. Tout cela n'a rien de bon pour moi.
Soudain, alors que je tortillais nerveusement mes doigts, je sens une main se poser sur mon épaule. Je me raidis, pensant que ce cher Conrad me possédait à présent, quand j'entends une voix féminine s'élever

« Hey, on fait équipe ? » Je me retourne avec hâte et me retrouve alors face à une jeune brunette, un large sourire aux lèvres. Je la reconnais rapidement (c'était une fille de mon cours) et accepte sans hésiter sa proposition.

« Avec plaisir ! » Je lui adresse un sourire plein de reconnaissance. C'était bien le moins que je puisse faire. Elle avait compris ma détresse et n'avait pas hésité à venir à mon secours. Moi qui ne fréquentais jamais de filles en général, je pouvais finalement profiter de la solidarité féminine !


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Rose E. Griffin
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Rose E. Griffin


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MessageSujet: Re: La solidatité féminine, il n'y a que ça de vrai ! |Rose && Aby   La solidatité féminine, il n'y a que ça de vrai ! |Rose && Aby EmptyDim 27 Oct - 16:47

La solidatité féminine
Rose & Abigaïl



Si la lumière du jour ne me réveille pas tout de suite, le son strident de mon réveil, lui, ne ce gène pas pour me rappeler que l'on est vendredi et que dans une heure les cours commencent. La lumière d'une journée automnale essaye de percer tant bien que mal derrière les rideaux de ma chambre sans pour autant y parvenir à mon plus grand bonheur, avec la tête comme d'un étaux, la migraine lancinante de la veille est toujours là, à me narguer. J'arrive enfin à me traîner vers la salle de bain en évitant la plupart des choses qui restent inerte sur le sol, dont ma grande pochette de dessins qui a déjà bien vécus puisque déjà en première année je l'avais. Tout en me préparant je me rends alors compte que des traces noires décore le sol de traits tous très différents et c'est avec beaucoup de concentrations que je fais le lien entre les traces par terre, celles sur mes mains et les bâtons de fusain noir qui jonche vulgairement au pied de mon lit et enfin en soulevant légèrement mes pieds nus que je me rends enfin compte que des traces noires comme du charbon colore mes pieds !

Ah oui ! je me souviens avoir passé la soirée à dessiner, le vieux tourne disque tourne encore pour ne diffuser qu'un semblant de son qui en fait n'est que le bruit du disque légèrement érayé, à regarder le disque tourner pendant des heures cela pourrait réellement constituer une hypnose total, la soirée me revient par bribes de léger flash pour qu'enfin mes yeux se pose sur le cendrier dont une forme de cigarette roulée qui à l'odeur n'en est pas une à dû ce consumer toute seule, à coter le pinceau a la tête plongé dans l'eau noircie d'un bocal de confiture vide...

Avec tout ce blabla sur les objets que l'on utilise pour faire de l'art, si vous n'êtes pas tout à fait idiots ! vous aurez alors compris que je suis en deuxième année, en spécialité Art.

Face au miroirs la lumière renvoie une image de mon visage avec un teint plutôt cadavérique, je dois admettre que je ne suis pas la personne ayant la peau la plus matte qui soit et je m'amuse de cet air de petit "ange" et du regard doux que cela peut donner. Pour donner un peu plus d'allure à ce visage, j'accentue un peu la "va vite" mes yeux avec un crayon noir,un rajout de rouge à lèvres, un chignon fait simplement trône sur ma tête, une fois habillé enfin prête pour aller en cour, enfin faut-il encore je retrouve mon portable qui au final a échoué sous un tas de coupures de presse qui me servent pour mes collages et j'arrive à mon grand étonnement à retrouver mes clés simplement posées sur ma table de chevet.
Et je vous assure ma chambre et très bien rangé... mais à ma manière.

Je jette brièvement un regard à l'emploi du temps punaisé pour remarquer que le cour que j'ai est une leçon de photographie en binôme avec les premières années. J'aime l'idée de têtes nouvelles et encore plus de les voir évoluer dans ce nouvel univers qui va en quelque sort êtres leurs nouvelle maison et intégrer une grande famille qu'est l'université de Liverpool et tout ce qui va avec ...

L'appareil photo dans les mains je me glisse discrètement dans les élèves et je me rends alors compte que le cours a déjà commencé grâce au regard réprobateur du professeur à qui j'envoie mon sourire le plus angélique qui soit - Les gens ont tendance à me prendre pour une petite fille naïve et angélique mais ce n'est qu'un semblant de réalité loin de l'exactitude de mon réel caractère.

La plupart des binômes déjà constituer, j'observe à la dérobée les gens qui m'entourent, histoire de voir qui pourrait bien avoir besoin d'aides, quand mon regard ce pose alors sur Conrad, le gars le plus emmerdeur qui soit à qui l'on peut ajouter la caractéristique d'être lourd dans ses délires surtout quand il tente de s'attirer des faveurs de la jeune femme qu'il est censé encadrer. C'est avec une sourire aux lèvres que je me rapproche de Conrad et de la jeune femme, en fait ce là me rappelle totalement ma première année, faire face à des pseudo avance qui en réalité sont des invitations déguisées pour être le futur coup d'un soir. La jeune femme à l'air nerveuse et c'est agacé face à l'attitude de Conrad et les bras croisés que je décide de mettre fin à la lourdeur des propos de Conrad pour enfin venir en aide à la jeune femme qui doit être à peine plus jeune que moi :

« Conrad, mon chers Conrad qu'est-ce que tu ne comprends pas dans l'attitude d'une femme quand elle essaye de te dire de lui foutre la paix ? Sérieusement je t'assure tout y est ! »

Lui dit-je avec un ton suffisant en montrant la jeune femme avec une gestuelle comme-ci je faisais une présentation d'un produit, je regarde Conrad s'éloigner l'air tout penaud et cela me donner une profonde satisfaction et beaucoup de joie à l'idée d'avoir ruiner la tentative de ce crétin. C'est avec un regard plus détendus et un sourire chaleureux - loin du regard glaciale que j'avais lancé plus tôt à Conrad - que je propose alors à la jeune femme :

« Hey, on fait équipe ? »

Et je n'ais pas à attendre longtemps avant qu'elle me réponde
« Avec plaisir ! »

La jeune femme qui me fait face est plus grande que moi c'est indéniable -Je vous vois venir ! Oui je suis pas très grande mais méfiez vous la taille n'est pas représentatif forcement du caractère, à bon entendeur ! - Des traits fin mais le plus important c'est qu'elle n'a rien d'arrogant et heureusement puisque c'est avec elle que je vais travailler.

Ma proposition de nous mettre en binômes n'a rien d’étonnant face à mon caractère plutôt amicale - Bien que je n'ais pas beaucoup de réel amis - Mais je ne suis pas sociable au premier regard on peut aussi me trouver froide Je prend le temps d'observer un personne avant de proposer le moindre signe d’intérêt envers elle, je crois que c'est comme si je me protégeais face à une peur cachée mais réel d'être blesser de quelques manières que se soit.

« Je ne suis pas spécialement bavarde mais je ne suis pas méchante et c'est au nom de La solidarité féminine et aussi parce que je suis passé par là que je suis venus à ton aide !»

Lui dit-je avec un sourire détendus, cela me rappela que moi aussi en première année j'avais eu des problèmes face à des deuxièmes années parfois trop insistants Mais je n'avais pas eu l'aide de qui que se soit et cela pour tout dire m'avait manqué...

« à part ça on pourra peut être aussi devenir amies.. Et moi c'est Rose. »

FICHE PAR STILLNOTGINGER.
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