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 Aby - Il ne faut pas jouer à saute mouton avec une licorne !

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AuteurMessage
Abigaïl Sky Hodgkins
+ Fonda un peu barrée +
Abigaïl Sky Hodgkins


☯ ARRIVE-E LE : 15/08/2013
☯ COPIES RENDUES : 88
☯ PSEUDO : Caramelle ou Lou'
☯ DOUBLE COMPTE : Ellie-Fay Cartwright
☯ CREDITS : ...

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MessageSujet: Aby - Il ne faut pas jouer à saute mouton avec une licorne !   Aby - Il ne faut pas jouer à saute mouton avec une licorne ! EmptyMer 25 Sep - 15:48

Abigaïl-Sky Hodgkins
« Petite citation »

NOM ET PRÉNOM COMPLET Abigaïl Skylar Hodgkins + ÂGE 19 ans + SURNOM Aby ou Sky ou Gaïl, ou mini Hodg' pour les amis de mon frère + LIEU DE NAISSANCE Liverpool + NATIONALITÉ Anglaise + ÉTUDES I'm an artist + ANNÉE D’ÉTUDE Première + SITUATION AMOUREUSE Célibataire + AVATAR Barbara Palvin +


© .liloo_59
+ Mon petit caractère +
Marrante - Charmeuse - Douce - Attachante - Déterminée - Impulsive - Instable - Colérique - Fragile - Bornée - Un brin dépendante affective - Possessive maladive - D'une dévotion à toute épreuve

Qu’est-ce que j’aime ? Hum…le chocolat, le soleil…j’adoooore le soleil, dorer au soleil, manger au soleil, boire un verre au soleil, flirter au soleil…Bref ! Je pense que vous avez compris l’idée. Quel dommage d'être coincée en Angleterre ! J’aime la mode et tout ce qu’il y a autour : les vêtements, les défilés, les séances photos, les défilés, les mannequins hommes, les défilés…oui j’aime beaucoup défiler. C'est grisant, c'est excitant, c'est…le top !

J’aime danser ! Alors ça, c'est l’éclate. Je fais de la danse depuis mes 3 ans. C'est en partie ce qui m’aide à tenir dans les moments difficiles. Grâce à ça, je garde un peu un pied dans la réalité. Et puis il parait que c'est un plus sur les podiums. Danser en soirée aussi c'est sympa.
J’aime pas manger et dormir…je trouve que c'est une perte de temps.

J’aime l’Europe et l’atmosphère particulière de chacun de ses pays. Je n’aime pas prendre des médicaments…ça me donne l'impression d'être folle, ce que je ne suis pas du tout ! J’aime le bleu, les jeux vidéos, l’histoire de Cendrillon, les telenovelas espagnoles, porter des robes, je ne fais d’ailleurs que ça, c'est très rare de me voir en pantalon…j’ai de belles jambes alors autant les montrer. J’aime mes études. J'aime profiter de ma jeunesse et de mon physique tant que je le peux. Je n'aime pas les gens prise de tête et trop compliqués. J'ai rapidement tendance à les envoyer balader. La vie est bien trop courte pour perdre du temps avec des empêcheurs de tourner en rond.
J'aime mon frère et Noam plus que tout.
+ derrière l'écran +

PSEUDO ou PRENOM Lou + ÂGE ... + D’OÙ NOUS VIENS TU ? De la région lyonnaise + SEXE Boy, I feel like a woman.. na na na nanana na na Dehors  + COMMENT AS TU CONNU HAG C'est mon bébé Coeur6 + PRESENCE Je dirais 5jr/7 minimum + DC ? La belle Abigaïl + LE MOT DE LA FIN Longue vie à HAG !!! +


made by pandora.


Dernière édition par Abigaïl Sky Hodgkins le Mar 22 Oct - 23:57, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Aby - Il ne faut pas jouer à saute mouton avec une licorne !   Aby - Il ne faut pas jouer à saute mouton avec une licorne ! EmptyLun 14 Oct - 19:56


+ Mon histoire +
Chapitre I. Pardon, je suis désolée

Je vois le jour dans une famille franco-anglaise, installée à Liverpool. Ma mère est française, originaire de Nice. Originaire de Leeds, mon père, William Hodgkins, a rencontré sa femme Lorelaï, au lycée. Ce fut un véritable coup de foudre. Ils étaient faits pour être ensemble. Ils partent tous les deux pour Londres pour leurs études, mais Lory tombe rapidement enceinte de leurs premiers enfants. Ils se marient, elle arrête ses études et s'occupe de son premier fils, William Jr, la grande fierté de son père. Alors que sa carrière évolue et après la naissance de Zachary, leur deuxième fois, Lory insiste pour faire un dernier enfant, tenant absolument à avoir une fille. Ils retentent l'aventure, et Lory tombe de nouveau enceinte. Après une grossesse pénible, elle met au monde une petite fille Abigaïl. Malheureusement, elle ne survit pas à l'accouchement, laissant un nouveau-né perdu, 2 petits garçons dévastés et un époux éploré derrière elle. Voilà à quoi ressemble mon arrivée dans la famille Hodgkins. Joyeux n’est-ce pas ?!

Mon père est tout sauf proche de moi. Il ne voulait qu’un seul enfant, un héritier, qui prendrait la suite de ce qu’il a déjà commencé. Une fille, il n’en avait que faire. Encore moins d’une fille qui le sépare de l’amour de sa vie. Il ne l’a jamais vraiment admis, mais j’ai toujours ressenti qu’il me considérait comme responsable de la mort de ma mère. Alors enfant, j’ai toujours fait en sorte d’être la plus discrète possible, pour ne pas rappeler à mon père la chose atroce que j’avais faite. Le seul domaine dans lequel je m’épanouis, c'est la danse. Je dessine également, mais je ne suis pas Van Gogh.
Je ne suis même pas sûre qu’il réalise qu’il m’a pourri mon enfance en faisant peser sur mes frêles épaules, cette hideuse culpabilité. À la mort de maman, mon père s’est plongé dans son travail, nous laissant mes frères et moi dans les mains de nounous en tous genres. Heureusement, j’ai toujours pu compter sur Zachary, mon grand frère, qui lui ne m’en a jamais tenu rigueur pour la mort de maman. Je n’ai toujours pu compter que sur lui et sur Lea, mon amie d’enfance. Lui et moi sommes inséparables. C’est mon grand frère, mon meilleur ami, mon père de substitution, mon confident…bref ! C’est mon tout !

Chapitre II. Oui papa, oui maitresse...oui tout le monde

J’ai à présent 10 ans et je suis l’élève et la fille parfaite : j’étudie plus que tout le monde, ayant les meilleures notes possibles, je ne parle pas tant qu’on ne me le demande pas, je ne réponds pas, vous ne trouverez pas la moindre trace d’insolence dans mon comportement. Je suis transparente. Personne ne me remarque et on a même tendance à oublier ma présence. Mission réussit. Mon unique objectif est de disparaitre, ne plus être. Si je pouvais mourir et ramener maman, je le ferais sans hésiter. Mon père me fait durement payer la mort de maman et je m’en excuse par mon comportement. Zach essaie de me pousser à m’affirmer un peu, mais du haut de mes 10 ans, c’est peine perdue.

Chapitre III.

J’ai maintenant 15 ans et je suis folle amoureuse. J’ai rencontré Leo, le fils d'une vielle amie de maman. Naïve et impressionnable, je tombe sous le charme de ce jeune homme plus vieux de 2 ans. Grisée par le sentiment amoureux, je lui cède beaucoup de choses, me faisant alors totalement mener par le bout du nez. Je ne souhaite qu’une chose : son bonheur. Mon angoisse est qu’il me laisse tomber, comme mon père le faisait à chaque fois. Au bout de quelques semaines, il glisse dans nos conversations l’idée de passer à l’étape supérieure. Plus le temps passe et plus il insiste, faisant fi de mes réticences. Je n’étais pas prête pour cela, mais il semblerait que mon avis ne lui importait que peu. Un soir, alors que mon père et mes frères s’étaient rendus à une soirée de bienfaisance à laquelle je n’étais bien sûre pas conviée, il se glisse dans ma chambre...

Abigaïl : « Leo ? Mais qu'est-ce que tu fais là ? T'as vu l'heure ? » Il ne me répond pas sur le coup et se contente juste de s'allonger à côté de moi sous les draps.
Leo : « Je t'aime tu le sais ça ? »
A. : « Oui ça je sais mais...D’où tu sors comme ça ? Tu empeste…tu es saoul ?... »
L. : « Non j'ai juste bu quelque verres, t'inquiète pas, tout va bien. » Il se rapproche alors, s'allongeant à moitié sur moi puis commence à m'embrasser. Le goût et l'odeur de l'alcool sont alors tout simplement écœurants. Je le repousse légèrement et lui dit
A. : « Leo arrête, je préfère que tu t'en aille. » Il saisit brutalement mon visage m'immobilisant rapidement pour que je le regarde dans les yeux et me demande avec fermeté
L. : « Tu m'aime n'est-ce pas ? »
A. : « Bien sur que oui tu le sais... »
L. : « Alors laisse toi faire ! » Sans même me laisser le temps de répondre, il se vautre largement sur moi et recommence à m'embrasser, laissant ses mains se promener sans retenue sur mon corps. Je le repousse violemment avant de lui demander une fois de plus de s'en aller, mais il était trop tard... Sa main sur ma bouche, son corps qui m'immobilise, et ma nuisette totalement relevée, j'allais passer la pire nuit de ma vie...

Chapitre IV. La capacité des hommes à se transformer en fantôme est tout simplement incroyable !

Leo s'est volatilisé après cette nuit-là, me laissant totalement dévastée. Durant une semaine, je reste cloitrée dans ma chambre sans parler à personne. Zach s'inquiète pour moi, mais je l'évite le plus possible. Quelques semaines plus tard, j'émerge à nouveau et décide de faire comme si rien ne s'était passé.

Chapitre V. Changement d'attitude.

Je suis à Nice pour un mois, la ville natale de ma mère, dans notre résidence secondaire avec Zach et quelques amis. En septembre, je ne retourne pas à Liverpool, je n’en ai pas le droit. Mon père a décidé de m’envoyer dans un pensionnat à Londres. Heureusement, mon frère Zach est parvenu à négocier ce voyage d’été, avant mon exil. Et puis il espérait que ce petit voyage en France m’aiderait à redevenir celle que j’étais…il ignoré bien sûr que c’est impossible ! Celle dont j’étais s’est évanouie ce soir-là...
Il est vrai que j'ai changé depuis l'histoire avec Leo. Je suis d'humeur changeante, voire instable. Je peux passer d’un état proche de la dépression à une euphorie presque incontrôlable en peu de temps, je m'emporte ou m'emballe pour rien, je suis très irritable et adopte un comportement « aventurier » voire dangereux parfois, ce qui ne me caractérise pas du tout, mais ça ne m'inquiète pas plus que ça, les changements à l'adolescence c'est normal après tout…

Cet été-là donc, j'ai le sentiment de profiter enfin de ma vie : je fais du jet-ski, du saut en parachute, et même à l'élastique, du rafting, je dors au soleil et je flirt à tout va, ce qui ne m'étais encore jamais arrivé. Je me sens vivante, audacieuse, je me fais des amis incroyablement vite, et semble être appréciée de mes nouvelles rencontres. Autant dire que c'est un grand changement pour moi. Mais mes nuits sont agitées : cauchemars, larmes, cris, Zach ne comprend pas ce qui m’arrive. Le jour, je parviens à donner le change, à prétendre que tout va bien, que je suis tout à fait normal, mais la nuit, c’est bien plus compliqué.
Je découvre un nouveau moyen d'expression : la photographie. Mes quelques croquis ne me suffisent plus. Je me promène partout avec l'appareil photo offert par Zach et prends toutes sortes de clichés. Quant à la danse, elle fait toujours partie de moi.

Chapitre VI. L’exil

Me voilà à Londres, dans un pensionnat mixte du centre-ville. J’ai 16 ans et pour la première fois de ma vie, je me retrouve livrée à moi-même. Je dois gérer seule, ces changements amorcés durant l’été et j’ai l’impression de sombrer. Malgré ses « efforts », mon père n’est pas parvenu à supporter de me voir à la maison. Plus je grandis, plus je ressemble à maman, et ça, il ne peut plus le supporter. J’arrive non loin de l’âge qu’elle avait quand ils se sont rencontrés, ce qu’il n’est pas prêt à affronter. Il m’envoie donc à Londres, loin de sa vue. Les premières semaines sont tout simplement abominables. Je parviens à me faire des connaissances dont je n’ai que faire. Les gens m’insupportent et m’indiffèrent. La solitude me pèse rapidement et mes nuits sont de plus en plus cauchemardesques.

Mais un beau jour, alors que je suis perdue dans mes pensées, un jeune homme s’approche de moi, rompant le silence et se présentant. Je m’apprête à l’envoyer balader, avant de poser mon regard sur lui. Mon souffle en est coupé. Il se présente : Noam Simmons. À cet instant, j’ignore que ce jeune homme va rapidement devenir mon roc, la personne la plus importante pour moi ici. Il me propose une visite guidée des bâtiments, ce que je me surprends à accepter…je n’en ai que faire de ces bâtiments, mais je le trouve étrangement sympathique. Je n’ouvre guère la bouche durant cette rencontre, me contentant de l’écouter, de hocher la tête et d’esquisser un petit sourire en coin à l’occasion. Il m’a l’air sympathique, certes, mais je ne le connais pas et je n’accorde pas ma confiance à n’importe qui. Le lendemain, on se croise dans la cour, le surlendemain, il me propose d’aller boire un café en ville durant notre permission et rapidement nous devenons inséparables. Noam devient rapidement essentiel à mon bien-être à Londres.

Allongée contre lui dans la salle commune, je lui demande d’une petite voix « tu ne me laisseras pas tomber hein Noam . » « Jamais, compte sur moi ». Voilà, il ne m’en fallait pas plus pour avoir une confiance aveugle en lui. En une année, je ne pouvais plus me passer de lui, mon meilleur ami, mon alter ego, la seule et unique personne à qui j’ai confié mon lourd secret, ce que Leo m’avait fait. Je ne vois plus personne d’autre que lui.

Chapitre VII. La rechute

Roulée en boule dans mon lit, je sombre doucement dans un sommeil sans retour. Noam n’est pas là, il n’est plus là. Il est entré à l’université, me laissant là, seule, dans ce pensionnat miteux. Je suis affreusement seule et mes vieux démons me rattrapent. Les idées noires et les pensées morbides sont de retour en force, comme pour me punir d’avoir tenté de les ignorer pendant un an. J’étais parvenue à les chassés grâce à la présence de Noam, mais maintenant, de nouveau en tête à tête avec moi-même, il m’était devenu impossible de luter. Seule dans mon lit, les somnifères avalés quelques minutes plus tôt commencent à faire effet. Alors que je sombre dans un sommeil artificiel, la porte de ma chambre s’ouvre sur un Noam, inquiet par le message laissé quelques heures plus tôt. Il me secoue dans tous les sens, tente de me faire réagir, mais impossible.

En 20 minutes à peine, il m’amène à l’hôpital et me voilà partie pour un lavage d’estomac. Inquiet de voir ce dans quoi je m’enfonçais inexorablement, il prend un appartement non loin de l’internat afin d’être plus proche et appelle Zachary au secours. Mon frère reste sur Londres durant quelques semaines afin de s’assurer du bon suivit de ma thérapie. Rapidement, le verdict tombe : je suis bipolaire. Cette psy me dit que la mort de ma mère, la culpabilité qui pèse sur moi depuis ma naissance et les multiples abandons que j’ai vécue sont à l’origine de mon état. Bien sur, elle ignore ce que Leo m’a fait, sinon je suis certaine qu’elle me ferait interner. Elle me dit que je suis fragile, instable et que je suis un danger pour moi-même…foutaise ! Elle me prescrit des médicaments censés réguler mon humeur et éviter que l’incident « somnifère » ne se reproduise, mais je n’ai pas spécialement envie de le prendre ce traitement…ça me donne l’impression d’être malade ou folle et je ne suis ni l’un, ni l’autre. Zach veille bien sûr à ce que je prenne ce fichu traitement, juste avant de s’envoler de nouveau pour Liverpool.


Chapitre VIII. Un nouveau départ

Je suis de retour chez moi, à Liverpool. J’ai réussi mon année au pensionnat et mon frère est parvenu à convaincre mon père de me laisser faire mon entrée universitaire à U. L, son université. J'intègre donc la section art de l'université dans le but de préparer une double licence photographie/danse.
Il m’a fallu dire au revoir à mon Noam, ce qui fut affreusement difficile. Pendant deux ans, il a été la personne la plus importante pour moi, nous n’étions rien que tous les deux, dans notre petite bulle presque parfaite et les aux revoirs furent plus que douloureux. « Toutes les bonnes choses ont une fin » ne cessait de me répéter Zach pour que la pilule passe plus facilement, mais ce n’était pas suffisant.
Je retrouve donc mon frère et nous reprenons nos petites habitudes, mais je retrouve mon père également, toujours aussi avenant avec moi…le bonheur. Je continue à prendre mes médicaments qui font sacrément bien effet, à tel point qu’à présent, je parais presque toujours enjouée et de bonne humeur. Je suis pleine d’une énergie presque intarissable que je tente d’évacuer comme je le peux. Récemment, quelques effets secondaires ont fait leur apparition. En effet, je suis surprise par une certaine inhibition dans divers domaines : je contrôle difficilement mes paroles et mes actions, mes pensées fusent dans tous les sens et je ne parviens pas à faire le tri. On me dit d’une franchise incroyable, mais ce n’est pas vraiment de mon fait. Je tente donc de gérer tous ces changements du mieux que je peux, tout en tâchant de garder le contact avec Noam à Londres. J’ignore quand nous nous reverrons. Tout serait tellement plus simple s’il était ici, avec moi…





[/color]
Code:
[color=#ff3333][b]#[/b][/color] Barbara Palvin + Abigaïl Sky Hodgkins
+ pour finir +

L'UNDERGROUND, CA VOUS DIT QUELQUE CHOSE ?

+ Oui, mais je ne crois que ce que je vois. (vous en avez vaguement entendu parler, c'est plausible, mais tant que vous n'avez pas l'occasion d'y entrer, vous n'y croirez pas)



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